mazi petite chienne

Avec un air très mystérieux, il me dit "je veux te faire un cadeau, viens, on va se ballader".... humpff... tout ceci ne me disait rien qui vaille !!!

Il était tout joyeux, visiblement très satisfait de lui-même.

De plus en plus bizarre...

Métro, marche... nous voici arrivés dans le 11ème arrondissement, arrêtés devant un établissement ne payant pas de mine, façon entrepot, avec un gros "D" au dessus d'une porte ouverte... Un petit corridor, une tenture de velours rouge que l'on écarte. Ah... nous voici donc dans une boutique spécialisée BDSM,

Les yeux qui s'écarquillent... la respiration qui s'accélère et le souffle qui se raccourcit ... devant un décor très particulier : cuir, latex, fouets, cravaches, chaines, cadenas, masques, costumes, gants, sextoys... dont la majorité m'étaient inconnus ! Tout était là et quelques clients, dont des couples, flânaient négligemment en effectuant leur shopping, comparant les mérites respectifs de telle ou telle cravache....

Je comprenais mieux sa gaité : il anticipait ma réaction... se doutant bien que je serais pour le moins surprise.

Après un passage au rayon cordes, entraves et autres liens d'amitié... il m'entraina vers une vitrine où trônaient des machins en acier, gros suppositoires ornés d'une pierre, d'un masque ou d'une chaine. Qu'est-ce donc que ceci ????

Voici pour toi... un Rosebud... késako ???

Et le voici parti à m'expliquer qu'il s'agit d'un bijou d'anus... etc, etc...

Heu... bijou... pourquoi pas... mais bijou d'anus ,,,, Heu... la notion n'est pas commune... Sauf que j'ai basculé dans un autre monde où  les bijoux ne se portent pas forcément aux oreilles ou au doigt...

Soyons clairs... j'adore la sodomie, j'y trouve un plaisir extraordinaire, mais de là à porter un Rosebud... d'autant que les premiers essais de conservation d'un plug dans le fondement ne s'étaient pas avérés très concluants... la moyenne de temps de maintien avant expulsion ne dépassait généralement pas 2minutes 30...

Il m'assurait que le Rosebud ne pouvait que tenir en place sa forme étant conçue spécialement pour cet usage.

Ben voyons...

Et un cadeau... un... j'ai choisi celui avec la chaine ....Il est lourd dans mon sac à main, lourd dans mon imagination... 

Et... de retour dans l'intimité, l'ordre claque : "A 4 pattes, tout de suite"... le gredin avait pris soin de m'interdire le port d'une culotte avant notre promenade... Il me fait prendre le Rosebud dans la bouche pour l'humidifier, le contact est froid. Puis, d'un coup sec et unique, il enfonce le Rosebud dans mon anus. Ouille... heu.. mmmm... très intéressant, comme sensation... la chaîne pend entre mes cuisses telle une queue d'acier.

Pour accentuer cette sensation étrange, il insère dans mon vagin un oeuf vibrant (j'en ferai l'apologie dans un autre post). Il prend soin de ne pas l'insérer trop profond, de manière (ai-je compris après coup) à ce que l'oeuf et le Rosebud se touchent au travers de la paroi interne.

Alors seulement, il me demande de me redresser et passe la chaine entre mes petites lèvres pour qu'elle effleure mon clitoris. Sur son ordre, je remets une culotte qui maintient la chaine en place.

Le reste... curieusement, tient très bien, et pèse. Je sens bien cet objet lourd dans mon cul, j'en suis trempée d'excitation.

Et nous repartons en ballade... son grand jeu devient alors de me faire sursauter à chaque mise en route de l'oeuf, lequel vibre contre le Rosebud... jamais ballade ne m'aura paru aussi longue. Je n'ai qu'une hâte... me retrouver seule avec lui et le supplier de me laisser jouir... je suis en permanence au bord de la jouissance, souffle court et yeux papillotants... Le pervers le sent, et arrête les vibrations... juste, juste avant... Je te hais... je te veux...