Lundi 5 mars 1 05 /03 /Mars 22:36

Je déménage ....

Pour celles et ceux qui veulent me retrouver...

http://ehcorvag.no-ip.org/~talena/

 

Mazi... ou désormais... Talena

Par mazi petite chienne
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Mercredi 1 février 3 01 /02 /Fév 17:37

CROCHET.jpg

Dans la série « les découvertes », il en est une qui m’a particulièrement marquée…

 

Un après-midi de vagabondage au bras de mon Ange Tourmenteur… arrêt dans une boutique spécialisée BDSM et examen attentif des divers instruments présentés au regard lubrique des Maître pervers et sadiques, avides de nouveautés pour tourmenter leur gentille soumise (ben quoi… si si, suis très gentille…).

 

Nous examinons un objet métallique dont l’usage ne me paraît pas évident : il s’agit d’un crochet (façon « Capt’ain » du même nom…) tout simple, avec une extrémité en boucle et l’autre bout soit orné d’une boule visiblement interchangeable en terme de diamètre soit une extrémité simple.

 

Mais à quoi donc peut servir un tel instrument ? Mon Ange de m’expliquer que cette chose sert dans les bondages et… s’insère dans l’anus pour être ensuite relié aux cordages… Oooooohhhh….

 

On joue à cochon pendu ? Une fois le concept intégré par les neurones, mes yeux sont devenus rêveurs et mon Ange n’a pas manqué de s’en apercevoir… et un crochet dans le panier.. un !

 

Inutile de dire que le trajet de retour a été ponctué de multiples questions sur l’usage de l’objet… douce et excitante anticipation de plaisirs dont j’espérais la proche expérimentation.

 

Pour ne pas faillir à sa réputation, mon Ange a attendu que mon excitation soit à son comble pour enfin essayer la nouvelle acquisition… c'est-à-dire… le lendemain…

 

Peu avant l’heure du déjeuner, il m’a demandé de me déshabiller et de me mettre à genoux, épaules au sol, croupe relevée. Après avoir usé de ses doigts pour vérifier mon état d’excitation (permanent dès qu’il est dans les parages…), il a inséré lentement le crochet dans mon anus, en faisant attention de ne pas me blesser. Sensation étrange d’un objet froid, étroit et métallique, et sur lequel il est possible d’intervenir en touchant l’attache à l’autre bout… Un crochet, quoi. L’excitation était aussi bien physique que mentale, l’idée de se savoir « crochetée » ainsi était très… chaude.

 

Il a alors serré  autour de ma taille une chaine d’acier fermée  à l’aide d’un cadenas, chaine qu’il a reliée, par une corde, à l’anneau du crochet, en tirant sur ce dernier jusqu’à ce que ma croupe soit bien cambrée. Il a ainsi attaché solidement la corde et m’a ordonné de préparer ainsi le repas.

 

Incroyable sensation que ce crochet qui bouge à chaque mouvement, à chaque pas… contrainte extrême, à l’orée de la souffrance sans pour autant être réellement douloureux. Sensation d’étirement, d’ouverture forcée mais ô combien excitante. Ses doigts sont souvent venus effleurer le crochet, la corde, mon sexe… ce dernier ruisselait de plaisir.

 

La préparation du repas fut un délicieux supplice, m’obligeant à prendre garde à mes moindres mouvements, sous le regard très intéressé de mon Ange qui ne cessait de me houspiller pour que les choses avancent plus vite… L’ai-je véritablement menacé de lui rendre la pareille ? hem… je ne me rappelle plus bien…

 

Divine expérience que ce crochet fiché dans mon fondement, tiraillement constant venant rappeler que je suis remplie, excitation maximum d’une contrainte que tu m’imposes, savoir que tu y prends du plaisir, que tu me sais à ta merci, encore et encore… et que j’aime ça.

 

D’ailleurs… dommage que tu ne te transformes pas plus souvent en Capitaine Crochet… me laisserais bien attraper, moi…

Par mazi petite chienne
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Mardi 31 janvier 2 31 /01 /Jan 12:28

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Farfouillant dans ton tiroir à malices, avec un objectif affiché de rangement, je suis tombée en arrêt devant un ustensile étrange, composé de deux bandes de cuir, visiblement destinées à s’assembler pour composer une ceinture de chasteté… ce que tu m’as confirmé.

 

Mon imagination s’est envolée, mes sens ont chauffé et mon bas-ventre s’est soudain mis à palpiter : je n’ai plus pensé qu’à essayer cet accoutrement. Outre l’aspect étrange de la chose, la symbolique de cette ceinture qui me condamne à n’être accessible qu’à toi, seul détenteur des clés des cadenas, m’ouvrait des horizons de plaisirs qui me rendaient très impudique.

 

Une fois ajustée sur moi, tu as fermé les cadenas et je me suis sentie… contrainte comme j’aime l’être, tienne encore plus. Et j’ai senti mon corps réagir, devenir hyper sensible, les palpitations de mon bas-ventre sont devenues un sourd et lancinant battement, ma respiration s’est saccadée… comme j’ai eu envie de toi… là, tout de suite.

Tes doigts sur mes tétons ont accentué encore cette faim de toi et d’assouvissement que cette ceinture avait généré, dès le claquement du dernier cadenas.

 

Tu m’as faite m’allonger sur le sol, écarter largement les cuisses, mon sexe s’est ouvert et la lanière de cuir a appuyé entre mes lèvres, a ouvert la raie des fesses pour s’encastrer. Je me suis sentie fondre…

 

De ton pied, tu as appuyé sur le cuir, doucement, en massant légèrement… Mmmmm… délicieuse sensation qui m’est remontée jusqu’au cœur.

 

Tu as senti ma jouissance proche alors tu as décidé de me faire attendre, tu as pris les pinces à linge que tu as placées sur mes seins, libérant à chaque pincement un flot de sensations. Nulle douleur là, juste une fulgurance qui venait entretenir le brasier de mon bas ventre…

 

A ta merci, soumise à tes envies, prisonnière de mes propres sensations, qui arrivaient par vagues successives.

 

Lorsqu’il n’a plus subsisté un centimètre de peau sans pince, tu t’es relevé, tu as saisi ta badine et tu as effleuré les pinces pour les faire vibrer. Ton pied s’est posé à nouveau entre mes cuisses, et tu as commencé un va et vient avec ton pied, lent massage appuyé, rythmé par les caresses de la badine sur les pinces à linge.

 

Plusieurs fois, j’ai failli jouir, tu as retenu cette jouissance, tu m’as voulue haletante et dépendante de tes gestes, cold turkey… jusqu’à m’autoriser à enfin exploser… Feu d’artifice de plaisir, les couleurs qui partent en pétard, un torrent de volupté, une lame longue et acérée qui remonte jusqu’au cerveau, langue de feu qui assèche ma gorge dans un râle de bonheur pur…

 

Et la redescente… émerveillée, ébahie devant la puissance et la violence de cette jouissance, pantelante et le corps délicieusement endolori, fourmillant encore de mille picotements de plaisir… 

Par mazi petite chienne
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Mardi 17 janvier 2 17 /01 /Jan 17:14

Chaine-fontaine.jpg

 

 

Il est un effet totalement inattendu que les jeux D/s ont entrainé… Jusqu’alors, ma jouissance était toujours passée par la stimulation de la zone située juste en dessous de mon clitoris. Autant dire que peu d’hommes ont réussi à me faire jouir dans un rapport « classique » si je ne glissais pas un doigt ou deux en prévention de frustration…

 

Par contre, ne serait-ce qu’effleurer mon clitoris gonflé s’avère aussi douloureux que « contre productif »…

 

Or, entre fisting et autres pratiques du même genre, j’ai appris à reconnaitre deux formes de jouissance : l’une « externe », bien connue, identifiée et maintes fois pratiquée, et l’autre, « interne ».. Beaucoup moins… explosante, mais plus larvée, plus insidieuse et irradiante dans tout le corps.

 

Et l’effet induit par cette découverte a été de s’apercevoir que… cet orgasme vaginal entrainait une déferlante humide dont la quantité était… surprenante. Une fois convaincue que… non, je n’avais pas uriné sous moi dans le feu de l’action (c’est quand même plutôt rassurant d’éliminer cette possibilité…)… je me suis interrogée…

 

Mais qu’est ce que c’est que ce truc ?

 

Gêne, honte d’avoir souillé les draps ou inondé le sol (oui, oui.. inondé n’est pas une exagération…). Mais je ne suis pas normale ? Que m’arrive-t-il ?

 

Devant mon désarroi, Il a compris et m’a expliqué… que j’étais capable d’éjaculer comme lui le fait dans ma bouche, dans mon sexe, dans mon cul.. ou sur mon visage.

 

Ah bon ????? Noooooooooonnnnn….. Et, compte tenu de l’étendue des dégâts, il ne serait pas incongru de penser que… le mot fontaine s’imposait.

 

Aaaaaahhhhh booooooooon ? heu… comme qui dirait « femme fontaine » ???

 

J’avais lu quelques récits et témoignages sur le sujet, mais m’étais esclaffée à chaque fois.. quelle idiotie, ce truc !!!

 

Damned… ne jamais dire….

 

Et bien laissez-moi vous dire que ça fait un drôle d’effet… Mon Ange Tourmenteur était partagé entre fou rire devant ma mine déconfite et tendresse infinie devant mon désarroi et mon évidente incompréhension. Merci à toi, mon Ange de m’avoir rassurée…

 

Heu… merci à toi aussi, mon Ange de m’avoir punie pour « salissure de draps »… 

Par mazi petite chienne
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Mardi 27 décembre 2 27 /12 /Déc 17:29

ange1.jpg

 

 

 

De tous les jouets dont dispose et use mon Ange Tourmenteur, le plus étonnant et le plus pervers est sans conteste... ses ongles.

 

Serres d'oiseau de proie... il en joue pour labourer ma peau, enfoncer ma chair, titiller un clitoris douloureux d'être gonflé, pincer des tétons qui ne pointent pas assez à son goût...

Ces ongles qui savent aussi effleurer et déclencher des frissons de plaisir.

 

Transportables et déplaçables discrètement, utilisables même dans les lieux publics… c’est l’un des pires instruments de torture qu’il détienne et dont il a une maitrise consommée.

 

Imaginez la tête de Petite Chienne chez l’esthéticienne pour le dépoilage sacrificiel… en train de tenter de trouver une explication plausible pour les trainées rouges sur le flanc et les mini cratères sur les fesses… Z’avez une idée ? Et bien… à part rougir comme une grenade bien mûre… j’en ai perdu tout sens du langage.

 

Saletés d’ongles… j’ai réussi (par je ne sais quelle intervention divine) à avoir raison de la badine, mais ses ongles… ouille… pas moyen de les casser au détour d’une posture péniblement imaginée pour ce faire ! Que nenni… bien accrochés, bien durs, bien solides…

 

Je comprends mieux pourquoi son pseudo de BlackBird… griffes, serres, rasoirs, socs de charrue sillonnant une terre labourable à merci.

 

Les couper dans son sommeil ? J’y ai bien pensé… mais cet Ange Noir a un sommeil léger comme la plume de ses ailes et il m’y a fallu renoncer…

 

Je le soupçonne par ailleurs de les laisser pousser pour mieux me tourmenter, pour m’entendre le supplier de procéder à une coupe plus courte… jamais assez… il n’est pas dénué de certain sadisme, il subsiste encore bien assez pour ratisser, saisir, empoigner… j’en frémis à la seule évocation.

 

Par mazi petite chienne
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